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les BÉNÉFICIAIRES

Les Plus Belles Girls :  23 années de spectacle !

 

 


A quelles associations de lutte contre le sida ont été reversés les bénéfices

depuis la création en 1992 des revues burlesques transformistes ?

 



En 1992, première année, les recettes étant trop faibles pour que des bénéfices soient reversés à des associations (malgré le désir de la petite troupe d’alors), les quelques francs rapportés n’ont pu que compenser les frais de location de salle.
 
Puis, de 1993 à 1996, les bénéfices des spectacles (même minimes au début) sont allés vers les délégations de Loire Atlantique et de Vendée de AIDES, avec, en 1994, une attribution à l’association AMITIE-SIDA à Nantes.
 
De 1997 à 1999, la coordination CAP GAY, regroupant plusieurs associations locales luttant contre le sida (entre autres les Gays Randonneurs Nantais, Aides, Si Maman savait, Les SÅ“urs de la Perpétuelle Indulgence, Le Centre lesbien et gay de Nantes, Contact Nantes, Les P’tits Bateaux) a reçu les bénéfices des spectacles, en particulier, pour ses actions de prévention en milieu ouvert.
 
De 1998 à 2000, l’association des P’tits Bateaux a été bénéficiaire. Parmi ses nombreuses actions, cette association animait des séjours de vacances pour les mères séropositives et leurs enfants et jouait aussi les baby-sitters afin de soulager quelques heures des mères fatiguées par leur pathologie et son traitement.
 
En 2000 et 2002, des fonds allèrent en Côte d’Ivoire, à Vavoua, où Thérèse, une religieuse que certains d’entre nous connaissaient à titre personnel, s’était retrouvée, envoyée dès l’âge de sa retraite par sa Congrégation, exercer son métier d’infirmière (qu’elle était à Nantes) auprès des villages isolés du centre de la Côte d’Ivoire.
Une grande partie de sa vie d’infirmière nantaise, dès le début de l’épidémie de sida, avait été consacrée aux personnes séropositives et, tout son temps, en Afrique, l’était pour elles.
 
En 2001, tous les bénéfices ont été reversés à Ensemble Contre le Sida (Sidaction).
 
Puis, de 2002 à 2008, les associations bénéficiaires ont été l’ADIP/S au Burkina-Faso et l’ARSIID à Nantes, avec en 2005, une partie des bénéfices au Réseau Matoutou en Guyane Française.

De 2009 à 2012, les associations bénéficiaires ont été l’ADIP/S au Burkina-Faso, Proyecto Payaso au Guatemala et le REVIH-HEP à Nantes. Plus en 2012, un don à CELESTE, Projet d’album pour enfants à l’attention des parents souhaitant annoncer/expliquer leur séropositivité.

 

 


 
Qui sont ces 4 associations ?

 


L’ADIP/S
(Association pour le Développement des Initiatives de Prévention en santé / Solidarité)
Située à Koudougou (Burkina-Faso), cette association accueille par an plus de 18000 personnes pour des examens, du dépistage, des renseignements et également des moments de convivialité.
Plus de 1000 personnes touchées par le VIH sont suivies par elle.
Elle apporte une aide, essentiellement scolaire, à plus de 350 enfants orphelins de père et/ou mère décédés du sida et parfois, également, porteurs du VIH .

L’ARSIID
(Association de Recherche sur le Sida et les Infections chez les Immunodéprimés)
Son siège est au CHU de Nantes.
Ses buts : recherches clinique et appliquée, formation de personnels médicaux et paramédicaux et réunions régulières médicales sur le sida et les infections chez les personnes immunodéprimées.

Le Réseau MATOUTOU
Installé à Saint Laurent-du-Maroni en Guyane Française.
Association constituée de personnels médicaux et paramédicaux pour l’accueil et le soutien des personnes séropositives, essentiellement en situation d’extrême vulnérabilité.

Proyecto Payaso
Installé au Guatemala.
Cette association se donne pour objectifs de faire de la prévention VIH et MST, dans les campagnes et villages du pays à travers des représentions : ACTION CLOWN.

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